Plan sur l’aire de répartition du caribou de Bathurst
Cet échange avec le public a pris fin.
Aperçu
De 2014 à 2019, le gouvernement des Territoires du Nord-Ouest (GTNO) a rédigé un Plan pour l’aire de répartition des caribous de Bathurst. Ce plan est un outil destiné à aider les décideurs, les entreprises et les collectivités à gérer les activités sur le terrain de manière à soutenir le rétablissement de la harde de Bathurst.
La harde de caribous de Bathurst parcourt des milliers de kilomètres chaque année sur un territoire qui s’étend du sud et du centre des Territoires du Nord-Ouest jusqu’à la mer de Bathurst, au Nunavut; ils descendent parfois vers le sud, jusqu’au nord de la Saskatchewan. Les caribous peuvent être confrontés à des perturbations anthropiques ou naturelles le long de leur parcours, notamment des routes, des collectivités, des mines, des camps et des forêts incendiées. Ces perturbations ainsi que les effets du changement climatique peuvent avoir des répercussions sur l’habitat du caribou qui influenceront la taille et la santé de la harde.
En 2014, en raison des préoccupations suscitées par les pressions exercées sur la harde de Bathurst, un plan pour protéger l’aire de répartition des caribous de Bathurst des perturbations humaines et naturelles, comme les incendies de forêt, a été adopté.
Un groupe de travail composé de représentants de gouvernements et d’organisations autochtones, du secteur privé, d’organisations non gouvernementales, de conseils de cogestion et des gouvernements territorial et fédéral a rassemblé des informations scientifiques et des connaissances traditionnelles afin de proposer des options de gestion de l’habitat.
Résultats
Nous avons résumé l’examen des commentaires recueillis dans un rapport intitulé Rapport sur ce que nous avons entendu et, en août 2019, publié le Plan pour l’aire de répartition des caribous de Bathurst.
Nous avons tenu un échange avec le public en janvier et en avril 2018, avec le soutien des membres du groupe de travail.
Plus de 28 organismes ont participé aux échanges que nous avons organisés dans 14 collectivités.
Nous avons également reçu des commentaires écrits de la Première Nation des Dénés Yellowknives, de Parcs Canada, d’ECCC et du public.
Plus de 150 commentaires ont été reçus des gouvernements autochtones, des conseils de cogestion, du secteur privé et des organisations non gouvernementales.